La vie de ma mère – Magyd Cherfi
Elle vivait seule désormais, Taos, sans contrainte aucune… seule enfin, enfin libre d’âtre ce qu’elle avait toujours redouté de devenir.
Mes petites chroniques sur des oeuvres qui sont pour moi essentielles. Histoire de goûts, histoire de genres.
Elle vivait seule désormais, Taos, sans contrainte aucune… seule enfin, enfin libre d’âtre ce qu’elle avait toujours redouté de devenir.
Oyez, oyez, braves gens !!! En ces temps rudes et glacials, emmitouflez-vous dans un gros plaid en poils de faux vair et non de verre (ça râpe !!), le roman de Sandrine O. vous fera l’effet d’un bon chocolat chaud avec une larmichette d’alcool réconfort !!!
Inutile de se lustrer l’intelligence, votre cerveau n’en sera que tout tarabiscoté. L’essentiel est de découvrir l’univers déjanté de François Zeugin sans se presser le citron.
Y’a quand même des fois, j’ai l’impression qu’ils lisent dans mes pensées, parce que l’autre jour, ils ont même dit NON, avant que j’ouvre la bouche ! (Extrait)
Cordelia doit rassembler les sept reliques disséminées sur les îles continents d’Alkymia pour pouvoir renvoyer Entropia sous terre. Comble de malchance, elle est la seule à pouvoir l’affronter.
Mardi 12 juin 2012. Un vieil homme, Isaac Dupuy pénètre dans l’Ehpad « Les Jours Tranquilles » avec un seul but, tuer Wolfgang Müller, pensionnaire de l’établissement.
« Avait-il raison ? De quel droit agir de la sorte ? » (Extrait)
A Prixiville, comptée d’économanie, l’argent disparait. Les coupables semblent être les salaires. Ils dissimuleraient leur butin dans un caïman…
Si l’île Caïman se lit d’une seule traite, elle nécessite une double voire une triple lecture pour en saisir tous les subtilités.
L’ouvrage de Rémi Madar prend la forme d’un récit de voyages illustré uniquement par les témoignages de tous les participants. Chacun raconte son expérience à sa manière.
Ce que l’on peut dire d’emblée sur Mister J, c’est qu’il cultive le mystère… À quoi ressemble-t-il ? Il est à l’image de ses romans, secret, insaisissable…
Le handicap n’est pas une fatalité. A l’inverse, il a permis à François Zeugin de décupler ses forces pour s’élever au-delà de sa condition physique.