Les acteurs – Bertrand Blier
Les Acteurs, c’est ça : une confession déguisée en farce, un hommage qui ne dit pas son nom. Une façon de rappeler que le cinéma n’est jamais aussi beau que quand il refuse de crever.
Mes petites chroniques sur des oeuvres qui sont pour moi essentielles. Histoire de goûts, histoire de genres.
Les Acteurs, c’est ça : une confession déguisée en farce, un hommage qui ne dit pas son nom. Une façon de rappeler que le cinéma n’est jamais aussi beau que quand il refuse de crever.
Le dernier roman de Christophe Jullien relate le parcours d’une jeune artiste en avance sur son temps. Elle commence sa carrière très tôt… 14 ans. Que dire sinon qu’elle force l’admiration sauf que …
Mardi 12 juin 2012. Un vieil homme, Isaac Dupuy pénètre dans l’Ehpad « Les Jours Tranquilles » avec un seul but, tuer Wolfgang Müller, pensionnaire de l’établissement.
« Avait-il raison ? De quel droit agir de la sorte ? » (Extrait)
A Prixiville, comptée d’économanie, l’argent disparait. Les coupables semblent être les salaires. Ils dissimuleraient leur butin dans un caïman…
Si l’île Caïman se lit d’une seule traite, elle nécessite une double voire une triple lecture pour en saisir tous les subtilités.
Emportée par sa gouaille, on l’accompagne volontiers dans ses beuveries, les vapeurs de bières et les volutes de fumées nous chatouillent les narines. Plus il va mal, plus il picole. Plus il va mal et plus il déteste cette ville qu’il chérit tant. Paris devient moche, taciturne.
Romain et Marie prennent vie grâce à la plume de l’auteur, ils s’échappent de ses lignes pour exister réellement.
Elle vivait seule désormais, Taos, sans contrainte aucune… seule enfin, enfin libre d’âtre ce qu’elle avait toujours redouté de devenir.
Oyez, oyez, braves gens !!! En ces temps rudes et glacials, emmitouflez-vous dans un gros plaid en poils de faux vair et non de verre (ça râpe !!), le roman de Sandrine O. vous fera l’effet d’un bon chocolat chaud avec une larmichette d’alcool réconfort !!!
Inutile de se lustrer l’intelligence, votre cerveau n’en sera que tout tarabiscoté. L’essentiel est de découvrir l’univers déjanté de François Zeugin sans se presser le citron.
Ce livre est un grand éclat de rire du début jusqu’à la fin sauf que Kathy Dorl réussit à nous faire pleurer.