La vie de ma mère – Magyd Cherfi
Elle vivait seule désormais, Taos, sans contrainte aucune… seule enfin, enfin libre d’âtre ce qu’elle avait toujours redouté de devenir.
Elle vivait seule désormais, Taos, sans contrainte aucune… seule enfin, enfin libre d’âtre ce qu’elle avait toujours redouté de devenir.
Oyez, oyez, braves gens !!! En ces temps rudes et glacials, emmitouflez-vous dans un gros plaid en poils de faux vair et non de verre (ça râpe !!), le roman de Sandrine O. vous fera l’effet d’un bon chocolat chaud avec une larmichette d’alcool réconfort !!!
Y’a quand même des fois, j’ai l’impression qu’ils lisent dans mes pensées, parce que l’autre jour, ils ont même dit NON, avant que j’ouvre la bouche ! (Extrait)
« L’amour, c’est comme le vin, il faut du temps. Ça doit fermenter. Et ce n’est pas toujours pourri au final. » (Jean/Pio Marmaï)
Lorsqu’on pénètre dans ce restaurant, de belles ondes vous submergent, on se sent tout de suite chez soi. On est happé par la bonne ambiance qui y règne mais surtout par la bienveillance qui se dégage. On peut le dire chez Ô Benestar, on est les bienvenus qu’on soit habitué ou non.
Cordelia doit rassembler les sept reliques disséminées sur les îles continents d’Alkymia pour pouvoir renvoyer Entropia sous terre. Comble de malchance, elle est la seule à pouvoir l’affronter.
Mardi 12 juin 2012. Un vieil homme, Isaac Dupuy pénètre dans l’Ehpad « Les Jours Tranquilles » avec un seul but, tuer Wolfgang Müller, pensionnaire de l’établissement.
« Avait-il raison ? De quel droit agir de la sorte ? » (Extrait)
A Prixiville, comptée d’économanie, l’argent disparait. Les coupables semblent être les salaires. Ils dissimuleraient leur butin dans un caïman…
Si l’île Caïman se lit d’une seule traite, elle nécessite une double voire une triple lecture pour en saisir tous les subtilités.
L’ouvrage de Rémi Madar prend la forme d’un récit de voyages illustré uniquement par les témoignages de tous les participants. Chacun raconte son expérience à sa manière.
Ce que l’on peut dire d’emblée sur Mister J, c’est qu’il cultive le mystère… À quoi ressemble-t-il ? Il est à l’image de ses romans, secret, insaisissable…